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Créer l'impossible : comment j'ai apporté une animation transparente au métavers


Mad Lips 21 - Ingénierie de l'art numérique
Mad Lips 21 - Digital art engineering.

En quelques jours intenses, je suis devenu obsédé par un seul objectif : créer une animation qui ne soit pas confinée à un rectangle, à un arrière-plan ou aux limites visuelles imposées par la plupart des formats numériques. Je voulais qu'elle existe librement, vivante, flottante et respirante dans un espace virtuel. Je ne voulais pas qu'elle soit accrochée à un mur. Je voulais qu'elle fasse partie du monde.


Et maintenant, elle existe. Une animation .webm entièrement transparente et ultra-légère, de moins de 8 Mo, fonctionnant parfaitement sur Oncyber, l'une des plateformes les plus immersives du Web3.

Soyons clairs : ce n'était pas simple. Je ne parle pas de glisser-déposer un fichier dans un dossier. Je parle de la gestion des limitations de format, des contraintes de compression, des logiciels incompatibles, des problèmes de rendu imprévisibles, des ratés du canal alpha et des impasses qui feraient abandonner la plupart des gens ou les conduiraient à une vidéo plate.


Mais je ne l'ai pas fait. J'ai continué. J'ai testé. J'ai échoué. J'ai refait le rendu. J'ai exploré des formats et des pipelines rarement utilisés ensemble, car j'avais quelque chose de précis en tête et aucun raccourci ne m'y mènerait.


Ce n'est pas quelque chose qu'on peut simuler avec un filtre. C'est la rencontre de l'ingénierie et de l'art. Et c'est quelque chose que très peu de gens, surtout dans l'espace créatif du Web3, font. Non pas parce qu'ils ne le peuvent pas, mais parce que le processus est fastidieux, fragmenté et profondément technique. Il n'est pas convivial. Et franchement ? C'est ce qui le rend si puissant.


Voir une animation transparente – vraiment transparente, sans distorsion ni masquage – vivre dans un espace métavers, réagir à la lumière, fusionner avec l'architecture, est quelque chose que je n'arrive toujours pas à décrire complètement. Mais je l'ai créée. J'ai façonné chaque image. Et je l'ai rendue suffisamment légère pour fonctionner en temps réel sans perte de qualité, sans bug et sans compromis.


J'ai créé ce projet pour ceux qui pensent que le métavers mérite plus que des diaporamas et des NFT statiques. Je l'ai créé parce que le Web3 n'est pas seulement une question de propriété. C'est une question de présence.

Voici Mad Lips 21. Et ce n’est que le début.

Le lien sera bientôt disponible pour vous aider à découvrir le travail dans le métavers.




 
 
 

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